Ouverts ce mardi 28 mars à Tel-Aviv, les travaux du Congrès mondial de diamant d’Israël placé sous le thème « changement et innovation dans la nouvelle réalité du diamant » se sont poursuit ce mercredi. Le deuxième jour a été marqué par la conférence des présidents des différents bourses du monde. Représentante de la RDC, Antoinette Nsamba a exposé sur les défis et opportunités de l’industrie du diamant en RDC.

Il faut dire que ce mardi 28 mars 2023, le go des activités du congrès Mondial du diamant a été donné par la représentante de la République démocratique du Congo à ces assises, la Ministre des Mines Antoinette Nsamba. Pour ce mercredi 29 mars 2023, ces activités se sont poursuivies avec la conférence des présidents des différentes bourses du monde. Les réflexions des différents intervenants qui sont des professionnels internationaux du Diamant ont tablé sur les défis actuels de leur secteur, qu’est l’industrie mondiale de diamant. Un secteur qui est confronté à la crise économique, qui fait qu’il y a nécessité de l’adapter au changement induit par cette crise, l’opportunité d’ouverture des échanges entre les producteurs, les acheteurs et les consommateurs finaux, le développement des affaires sur des nouveaux marchés et la possibilité de placer une partie du commerce des sphères physiques vers les sphères numériques.
C’est dans cette perspective que la Ministre congolais des Mines a fait son allocution, qui a gravité autour des défis et opportunités de l’industrie du diamant en RDC, un pays qui est compté parmi les grands producteurs de ce minerai dans le monde. Selon elle, il n’est pas impossible d’arriver au changement et à l’innovation de la nouvelle réalité du Diamant. Ce Congrès Mondial du Diamant est un forum qui a repris après 3 ans de répit de suite de la COVID 19. Il a réuni plus de mille participants du monde des diamantaires, venant notamment de la Chine, des Etats Unis, de la Belgique, de la France, des Emirats Arabes-Unis, de l’Inde et bien d’autres pays. C’est aussi l’occasion des rencontres bilatérales et des affaires.
Emille Kayomba