Aujourd’hui, le Ministre national des sports, peut bomber sa poitrine, au regard de l’ampleur du travail abattu, durant le peu de temps qu’il est aux affaires, dans un secteur aussi complexe que le sport, en République démocratique du Congo.
En 3 mois, un stade de 12000 places est à présent homologué par la CAF et la FIFA. Le stade des Martyres qui comprend 80000 places, pourra en toute fierté, recevoir le match RDC-MAROC.
En dehors de Kinshasa, il faut épingler d’autres villes du pays, dotées à présent, d’un stade aux normes admises par l’institution faitière du football : la FIFA. Il s’agit de : Matadi, Kisangani, Lubumbashi, mais aussi le stade de Kadutu à Bukavu dans le Sud-Kivu. Ce stade, est complètement amélioré. Dans le Nord-Kivu, c’est le stade de l’Unité qui a reçu aussi une touche de jouvence. Mais, il y a aussi plusieurs autres projets, dont des salles de gymnastiques et des salles de sport. Le test de toutes ces infrastructures, soit construites, soit restaurées, se fera dans l’objectif 2024, en juin-juillet, lors de la tenue des jeux congolais.
Il n’est, tout de même pas normal que sur une population d’environ 100 millions de personnes, notre pays, ne parvient pas à avoir des athlètes qui nous ramènent des médailles dans les compétitions olympiques, même si nous pouvons être fier d’avoir une équipe féminine, celle de Bukavu, championne d’Afrique en football.
Selon le Ministre de la Jeunesse et des sports, Monsieur Serge Kondé, pour évoluer ; il faut un plan de travail et de l’organisation. Nous voulons des stades au standing FIFA, avec homologation. Quand nous pensons aux sportifs binationaux, n’oublions pas, dit-il, qu’il nous faut d’abord des stades de hauts niveaux.
Puisque, contre le Maroc, le gouvernement des Warriors et particulièrement le ministère des Sports et Loisirs, ont tout fait, notamment en aménageant 60000 places alors qu’avant, il n’y avait que 12000 places. De plus, nous avons maintenant des stades à Kinshasa, au Kongo Central, à Kindu, à Kalemie, au Sud-Kivu, à Goma et à Lubumbashi.
Pascal Hamici