Au moment où le microcosme politique est alimenté avec des débats dominés par la réforme de la loi électorale, Martin Fayulu lui, tient à la tenue des scrutins en 2023, comme le veut le délai constitutionnel de 5 ans.
Selon le président du parti politique Engagement citoyen pour le développement (ECIDE), « Ne pas vouloir organiser les élections transparentes et impartiales, c’est décidément prendre l’option de maintenir le peuple congolais dans la pauvreté et la misère. C’est de l’indignité », a-t-il indiqué dans un tweet ce mardi 19 avril 2022.
Martin Fayulu est leader de la plateforme Lamuka, qui a une position tranchée face à la réforme électorale en cours. Ce regroupement politique de l’opposition est de ceux, comme le FCC, tient à ce que cette réforme de la loi électorale soit discutée dans un cadre non institutionnel. Ce que les forces politiques soutenant le régime au pouvoir n’entendent pas de cette oreille, car pour les membres de l’Union sacrée, il y a des institutions légalement établies.
Autour de cette question de la réforme, les églises catholiques à travers la Commission nationale épiscopale du Congo (CENCO) et l’Eglise du christ au Congo (ECC) on entamé des discussions avec les personnalités politiques, pour trouver un consensus car nécessaire pour les bonnes élections notes les deux confessions religieuses.
Émille Kayomba