• ACTUALITÉ
  • Nos émissions télé
  • Biso
  • A Propos
  • Contact
mercredi, novembre 12, 2025
B-one télévision
  • ACTUALITÉ
  • Politique
  • Justice
  • Sécurité
  • éducation
  • Santé
  • Culture
  • Femme
  • Nos émissions télé
  • Biso
No Result
View All Result
  • ACTUALITÉ
  • Politique
  • Justice
  • Sécurité
  • éducation
  • Santé
  • Culture
  • Femme
  • Nos émissions télé
  • Biso
No Result
View All Result
B-one télévision
No Result
View All Result
  • ACTUALITÉ
  • Politique
  • Justice
  • Sécurité
  • éducation
  • Santé
  • Culture
  • Femme
  • Nos émissions télé
  • Biso
Home Politique

Conférence Fondation Thabo Mbeki : L’opposition réagi sur les refus des visas pour l’Afrique du Sud

3 septembre 2025
in Politique
0 0
Conférence Fondation Thabo Mbeki : L’opposition réagi sur les refus des visas pour l’Afrique du Sud
Partager sur FacebookPartager sur TwitterPartager sur whatsapp

Partiront? Ou partiront pas? Enfin, le sort de Jean Marc Kabund quant à sa participation à la conférence sur la paix et la sécurité organisé par la Fondation Thabo Mbeki est connu. Ce mardi, 2 septembre 2025, l’opposant congolais Jean-Marc Kabund, président de l’Alliance pour le Changement, Ach, a vertement réagi après un imminent refus de visa par les autorités sud-africaines, l’empêchant ainsi de participer à la dite Conférence.

Dans un message au ton tranchant sur son compte X, Kabund cri au complot ourdi contre sa personne. Il accuse le pouvoir en place d’avoir entravé son départ au pays de l’arc-en-ciel. Jean-Marc Kabund qualifie cet acte d’atteinte aux droits humains et de preuve de la dérive autoritaire du pouvoir en place à Kinshasa. Pointant du doigt, le régime Tshisekedi.

« Le régime de Tshisekedi tremble devant la vérité ! Sur ordre de cette tyrannie, le gouvernement sud-africain m’a refusé le visa, m’empêchant ainsi de participer à la Conférence internationale sur la paix », dénonce-t-il.

Pour Kabund, si l’octroi d’un visa relève de la souveraineté nationale, en refuser un à un opposant politique sous pression extérieure constitue une violation flagrante des libertés fondamentales. L’ancien vice-président de l’Assemblée nationale va plus loin en estimant que Pretoria, en cédant aux sollicitations de Kinshasa, s’est « invité dans les affaires internes de la RDC » et a trahi l’héritage politique du vénérable Nelson Mandela.

Sans langue de bois, Kabund, à peine sortie de prison s’engage se montre prêt à engager à nouveau un bras de fer avec son adversaire politique, le président Félix Tshisekedi. Mais cette prise de position audacieuse lève le pan sur la pression que la diplomatie peut exercer sur la politique des Etats.

« Tout porte à croire que si le régime tyrannique de Kinshasa demandait au gouvernement sud-africain de traquer les opposants congolais sur son territoire, il le ferait », a-t-il fait savoir. « Honte à ce pouvoir complice, fossoyeur de la liberté et de l’héritage de Mandela. » A quelques jours du début de ces assises qui porte sur la question de la paix et la sécurité de la République Démocratique du Congo, l’expérience Kabund aurait pû être une aubaine pour la Conférence de la Fondation Thabo Mbeki, et pour la République, par ricochet.

Dans ce même registre, le Leadership pour la Gouvernance et le Développement (LGD) et alliés parti cher à Matata Ponyo a dans un communiqué de presse signé par Franklin Tshiamala a fustigé le fait de s’est vue refusé le visa d’entrée en Afrique du sud. « Cependant malgré notre entière disposition et engagement, à participer à activement à ces échanges, nos délégués n’ont malheureusement pas pû obtenir les visas et titres de séjours tel que convenu. cette situation totalement indépendante de notre volonté rend matériellement impossible notre présence physique à ces assises, en Afrique du Sud» regrette le parti bicolore, rouge et blanc. Ces absences seront-ils des bâtons dans l’engrenage de la conférence sur la paix et la sécurité en Afrique qui débute aujourd’hui ? Se questionnent les congolais.

L’opposant Jean-Claude Kibala n’a pas pu se rendre lui aussi en Afrique du Sud ce mardi 2 septembre. L’ancien ministre de la fonction publique a vu son passeport diplomatique confisqué à l’aéroport international de Ndjili par la Direction générale des Migrations (DGM), l’empêchant de quitter le territoire congolais. Comme tous les autres opposants, il devrait se rendre à Johannesbourg, en Afrique du Sud, où il doit participer à la deuxième edition d’un dialogue sur la paix et la sécurité en RDC, sous l’initiative de Thabo Mbeki, ancien président Sud-africain.

Ce rendez-vous auquel quelques opposants tels que Moïse Katumbi, Jean-Marc Kabund, Delly Sessanga et Seth Kikuni ont répondu présents, aura deux thèmes principaux, dont les défis auxquels est confrontée la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et la crise sécuritaire dans l’est de la RDC, couplés à une grande réunion entre des Congolais, visant à discuter sur «des causes profondes du conflit en cours. »

Elrick Elesse

Dans la même catégorie

Depuis le Brésil, Félix Tshisekedi annonce la signature imminente d’un accord de paix pour l’Est de la RDC
Politique

Depuis le Brésil, Félix Tshisekedi annonce la signature imminente d’un accord de paix pour l’Est de la RDC

8 novembre 2025
UDPS : Trois cadres suspendus pour manquements disciplinaires
Politique

UDPS : Trois cadres suspendus pour manquements disciplinaires

6 novembre 2025

Contactez-nous

Email : publicite@b-onetv.cd

Email : infos@b-onetv.cd

 

  • Publicité
  • A Propos
  • Contact
  • Confidentialité

© 2023 B-one Télévision - All Rights Reserved. Conçu par Jonathan mus

Welcome Back!

Login to your account below

Forgotten Password?

Retrieve your password

Please enter your username or email address to reset your password.

Log In
No Result
View All Result
  • ACTUALITÉ
  • Nos émissions télé
  • Biso
  • A Propos
  • Contact

© 2023 B-one Télévision - All Rights Reserved. Conçu par Jonathan mus