Le Premier Ministre Sama Lukonde a procédé, ce mardi, à l’ouverture de l’atelier de validation des résultats sur l’étude de redynamisation du Système d’Information pour la Gestion de l’Éducation « SIGE » dans le secteur de l’enseignement, de la formation technique et professionnelle. Le chef du gouvernement a rappelé l’importance de cet atelier dans l’évolution de ce secteur.

Ces travaux de deux jours sont organisés par le ministère de la Formation professionnelle et Métiers en collaboration avec l’UNESCO. Le Premier Ministre a souligné que le gouvernement réserve une place de choix au secteur de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle, raison pour laquelle plusieurs actions ont été identifiées en faveur de ce secteur.
« Sous le leadership du Président de la République, Son Excellence Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Chef de l’État, le programme du Gouvernement réserve une place de choix au secteur de l’enseignement et de la formation technique et professionnelle. Parmi ces actions, je citerai la modernisation et la création des établissements de l’enseignement et formation technique et professionnelle, des grandes écoles polytechniques, l’intensification de la construction des écoles et des centres de formation professionnelle, l’élaboration d’un état des lieux sur le programme national de formation professionnelle en vue d’un cadre réglementaire unifié de certification, la mise sur pied d’une série de programmes de formation technique et professionnelle en faveur des jeunes non diplômés et leur implication dans les différents travaux de reconstruction du pays, » a déclaré le Premier Ministre Sama Lukonde.

Le gouvernement congolais ne peut qu’appuyer cette démarche qui vise la collecte des données statistiques dans divers secteurs pour la planification du développement a indiqué le Premier Ministre. Bien avant le mot d’ouverture du Premier Ministre, la Ministre de la Formation professionnelle, Antoinette Kipulu est revenue sur l’importance de cette étude qui doit être validée à l’issue de ces deux jours d’atelier. Pour elle, la formation professionnelle autonomise les jeunes et favorise leur intégration professionnelle, d’où, la nécessité d’accorder une importance capitale à ce secteur.
Emille Kayomba